La progression de tes billets me fait penser à la progression du rapport à la fonction politique de l’Église par Pie XIII (incarné par Jude Law) dans the Young Pope : il révolutionne les homélies publiques sur la place St Marc de la Basilique St-Pierre de Rome en ne s’y montrant que de dos et dans la pénombre par faire grandir le mystère de celui dans qui Dieu s’est incarné sur Terre (contrairement à ses prédécesseurs qui se sont abaissés à foutre leur tronche sur des mugs cheap pour touristes) mais, au fur et à mesure de l’exercice du pouvoir, il prend conscience du fait qu’une trop grande distance (voir une distance infranchissable) entre les braves gens et lui-même augmente le caractère mystique de leur relation (victoire!) mais diminuer leur capacité à faire l’expérience humaine de cette mysticité (genre comme dans Into the Wild où arrivé au bout de son périple, Christopher McCandless a une révélation : le bonheur n’a de valeur que s’il est partagé…).
C’est un peu ce à quoi me fait penser le fait que, progressivement, alors que nous découvrons avec chaque billet, avec chaque statut des parties de la pensée d’Anne Archet, nous commençons également à découvrir des parties de son corps charnel (je suis pas très dualiste mais on va faire le raccourcis parce que j’ai la flemme d’être cohérent avec mes postulats anthropologiques et philosophiques).
Je ne sais pas quoi penser du fait qu’alors avant j’étais 100% excité par les seuls mots, la finesse d’esprit et l’espièglerie d’Anne Archet, son corps commence désormais à m’exciter presque également. Est-ce que je vais prêter moins attention à ce qui causait initialement mon excitation? Avant j’avais envie d’aller faire un Fight Club philosophique avec Anne Archet, maintenant, spontanément, j’ai envie de faire un gang bang avec Anne Archet.
Les catégories morales étant totalement proscrites ici, je ne sais pas quoi faire avec ces questionnements à part en faire une expérience jouissive en tant que telle 🙂 Merci pour ça !
Vie de licorne 
La progression de tes billets me fait penser à la progression du rapport à la fonction politique de l’Église par Pie XIII (incarné par Jude Law) dans the Young Pope : il révolutionne les homélies publiques sur la place St Marc de la Basilique St-Pierre de Rome en ne s’y montrant que de dos et dans la pénombre par faire grandir le mystère de celui dans qui Dieu s’est incarné sur Terre (contrairement à ses prédécesseurs qui se sont abaissés à foutre leur tronche sur des mugs cheap pour touristes) mais, au fur et à mesure de l’exercice du pouvoir, il prend conscience du fait qu’une trop grande distance (voir une distance infranchissable) entre les braves gens et lui-même augmente le caractère mystique de leur relation (victoire!) mais diminuer leur capacité à faire l’expérience humaine de cette mysticité (genre comme dans Into the Wild où arrivé au bout de son périple, Christopher McCandless a une révélation : le bonheur n’a de valeur que s’il est partagé…).
C’est un peu ce à quoi me fait penser le fait que, progressivement, alors que nous découvrons avec chaque billet, avec chaque statut des parties de la pensée d’Anne Archet, nous commençons également à découvrir des parties de son corps charnel (je suis pas très dualiste mais on va faire le raccourcis parce que j’ai la flemme d’être cohérent avec mes postulats anthropologiques et philosophiques).
Je ne sais pas quoi penser du fait qu’alors avant j’étais 100% excité par les seuls mots, la finesse d’esprit et l’espièglerie d’Anne Archet, son corps commence désormais à m’exciter presque également. Est-ce que je vais prêter moins attention à ce qui causait initialement mon excitation? Avant j’avais envie d’aller faire un Fight Club philosophique avec Anne Archet, maintenant, spontanément, j’ai envie de faire un gang bang avec Anne Archet.
Les catégories morales étant totalement proscrites ici, je ne sais pas quoi faire avec ces questionnements à part en faire une expérience jouissive en tant que telle 🙂 Merci pour ça !
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