(Déculottée et allongée en travers de mes genoux, Blondine attend avec un mélange d’appréhension et d’excitation sa punition.)
Moi — (Sur un ton essstrêmement sévère.) Mademoiselle Blondine sait-elle à quel point elle fut une mauvaise fille ?
Blondine — Oui, maîtresse.
Moi — Mademoiselle Blondine sait-elle qu’elle n’est qu’une invitée dans le demi-sous-sol et qu’elle ne pas faire tout ce qui lui passe par la tête ?
Blondine — Oui, maîtresse.
Moi — Mademoiselle Blondine sait-elle ce qui attend les chipies désobéissantes de son espèce ?
Blondine — Oui, maîtresse.
CLAC !
Blondine — Oh !
Moi — Ça, c’est pour Suzie, la salope du collège.
CLAC !
Blondine — Aie !
Moi — Ça, c’est pour les rendez-vous saphiques au vestiaire.
CLAC !
Blondine — Ouille !
Moi — Ça, c’est pour le week-end pervers chez les cousines lesbiennes.
CLAC !
Blondine — Ouch !
Moi — Ça, c’est pour l’éjaculation féminine au couvent.
CLAC !
Blondine — AIIIIIIIIE !
(Je la laisse reprendre un peu ses esprits en contemplant les marques rouges qui zèbrent ses fesses.)
Blondine — Euh… Maîtresse ?
Moi — Quoi, petite vicieuse ?
Blondine — Vous ne m’avez pas dit elle était pour quoi, celle-là…
Moi — Elle est pour toutes les autres cochonneries que tu feras à l’avenir lorsque tu seras seule au demi-sous-sol.
(Je lui montre la facture du câblodistributeur pour le mois dernier.)
Blondine — Ben là ! Vous n’aviez qu’à changer ton mot de passe ! Même Lou sait que vous l’avez laissé à « 0000 » !
Moi — Ah ok… Je me demandais bien aussi pourquoi tu avais loué Pitch Perfect 3 et Wonder Woman…